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On Subtypes of Developmental Dyslexia: Evidence From Processing Time and Accuracy Scores

Canadian journal of experimental psychology, 2000-06, Vol.54 (2), p.87-104 [Peer Reviewed Journal]

2000 Canadian Psychological Association ;Copyright Canadian Psychological Association Jun 2000 ;2000, Canadian Psychological Association ;Distributed under a Creative Commons Attribution 4.0 International License ;ISSN: 1196-1961 ;EISSN: 1878-7290 ;DOI: 10.1037/h0087332 ;PMID: 10881393 ;CODEN: CJEPEK

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Citations Cited by
  • Title:
    On Subtypes of Developmental Dyslexia: Evidence From Processing Time and Accuracy Scores
  • Author: SPRENGER-CHAROLLES, LILIANE ; COLÉ, PASCALE ; LACERT, PHILIPPE ; SERNICLAES, WILLY
  • Singer, Murray ; LeFevre, Jo-Anne ; Sénéchal, Monique
  • Subjects: Articulation Disorders - diagnosis ; Child ; Children & youth ; Cognition & reasoning ; Cognitive Ability ; Cognitive development ; Cognitive science ; Dyslexia ; Dyslexia - diagnosis ; Elementary level ; Epidemiology ; Female ; French language ; Human ; Humans ; Language instruction ; Linguistics ; Male ; Onset (Disorders) ; Orthography ; Phonetics ; Phonology ; Psychodiagnostic Typologies ; Psychology ; Severity of Illness Index ; Time Perception - physiology
  • Is Part Of: Canadian journal of experimental psychology, 2000-06, Vol.54 (2), p.87-104
  • Description: Phonological dyslexics (Ph- DYS ) are characterized by a phonological deficit, while surface dyslexics ( S-DYS ) are characterized by an orthographic deficit. Four issues were addressed in this study. First, we determined the proportion of Ph- DYS and S-DYS in a population of French dyslexics by applying Castles and Coltheart's (1993) regression method to two previously unused diagnostic measures: pseudo-word and irregular-word processing time. Thirty-one dyslexics were matched to 19 average readers of the same age (10 years, CA controls) and to 19 younger children of the same reading level (8 years, RL controls). Compared to CA controls, there were more Ph- DYS than S-DYS . Compared to RL controls, there were still a high number of Ph- DYS ; however, the S-DYS profile almost disappeared. Next, we examined the reliability of these subtypes across different measures of phonological and orthographic skills. Compared to RL controls, both groups of dyslexics were found to be impaired only in phonological skills, either in processing time (Ph- DYS ) or in accuracy ( S-DYS ). Then we assessed the moment at which the two dissociated profiles emerged in the course of cognitive development. In order to do so, we examined earlier longitudinal data, collected when the children were 7 and 8 years old, and found that only the S-DYS 's orthographic deficit increased with development. Last, we looked at whether the Ph- DYS and S-DYS profiles were associated with other specific cognitive deficits. Specific deficits in phonemic awareness and in phonological short-term memory were found for both Ph- DYS and S-DYS . These data suggest that developmental dyslexia could be largely accounted for by an underlying phonological impairment. La dyslexie phonologique se caractérise par un déficit de la voie phonologique de lecture et la dyslexie de surface par un déficit de la voie orthographique. Le premier objectif de l'étude est d'évaluer la proportion de chacun de ces deux profils chez des enfants francophones. Trente et un dyslexiques de 10 ans ont été appariés à deux groupes contrôle de 19 lecteurs moyens: un de même âge et un de même niveau de lecture (8 ans). Les deux groupes de lecteurs moyens comportent les mêmes enfants, testés à 8 et 10 ans. Des dyslexiques émanent d'une cohorte de pratiquement 400 enfants qui ont été suivis depuis l'âge de 5 ans et les lecteurs moyens d'un sous-groupe de 43 enfants de cette cohorte. Au début de l'étude, ces enfants ne présentaient aucun déficit dans les domaines classiquement répertoriés comme constituant des facteurs de risque pour les apprentissages académiques. Ils ont tous passé à 5, 6, 7 et 8 ans les mêmes épreuves. Toutefois, pour les passations faites à 7 et 8 ans, nous n'avons pu utiliser un ordinateur pour les épreuves de lecture qu'avec les 43 enfants du sous-groupe. A 10 ans, les dyslexiques et les lecteurs moyens ont passé les épreuves de lecture dans la version informatisée. Les profils de dyslexie ont été établis à l'aide de la méthode des regressions mise au point par Castles et Coltheart (1993) , en prenant comme indicateur des performances phonologiques et orthographiques les temps de réponse en lecture de pseudomots et de mots irréguliers. La comparaison avec les lecteurs moyens de même âge permet de faire ressortir 16 dyslexiques phonologiques (Ph- DYS ) et 10 dyslexiques de surface ( S-DYS ). Onze Ph- DYS , mais seulement 3 S-DYS , résistent à la comparaison avec les enfants de même niveau de lecture. Le second objectif de l'étude est d'évaluer la fiabilité de cette classification. Dans ce but, on a examiné les scores des différents groupes (les 16 Ph- DYS , les 10 S-DYS , et les deux groupes de lecteurs moyens), dans différentes mesures permettant d'évaluer leurs performances phonologiques et orthographiques: les mesures qui ont servi à typologiser les dyslexiques, plus la précision de la réponse en lecture et en écriture de pseudomots et de mots irréguliers. Les compétences orthographiques des dyslexiques, quel que soit leur type de dyslexie et quelle que soit la mesure utilisée, ne diffèrent pas de celles des enfants de même niveau de lecture. Cette même comparaison fait par contre ressortir un déficit phonologique dans les deux groupes de dyslexiques, soit pour la rapidité de la réponse chez les Ph- DYS , soit pour la précision de cette réponse, en lecture comme en écriture, chez les S-DYS . Le troisième objectif est d'évaluer à partir de quand émergent les profils dissociés. Les données longitudinales recueillies en écriture de pseudomots et de mots irréguliers ont seulement permis de relever que le déficit orthographique des S-DYS est plus fortement marqué lors de la dernière session. Enfin, on a examiné la question de la spécificité des déficits cognitifs des dyslexiques, en dehors de la lecture-écriture. Chez les Ph- DYS , comme chez les S-DYS , des déficits en mémoire à court-terme phonologique (mais pas en mémoire visuelle non-verbale) et en analyse phonémique (mais pas en analyse musicale) ont été relevés. De plus, le déficit en analyse phonémique est observé dans les deux groupes de futurs dyslexiques à 5 ans, avant le début de l'apprentissage de la lecture. Dans leur ensemble, ces résultats indiquent qu'un déficit spécifiquement phonologique peut caractériser et expliquer la dyslexie développmentale. Les deux formes de dyslexie ne relèveraient donc pas de profils cognitifs fondamentalement différents. Elles seraient plutôt liées à des stratégies compensatoires différentes, s'expliquant probablement par des facteurs environnementaux.
  • Publisher: Canada: Canadian Psychological Association
  • Language: English
  • Identifier: ISSN: 1196-1961
    EISSN: 1878-7290
    DOI: 10.1037/h0087332
    PMID: 10881393
    CODEN: CJEPEK
  • Source: ProQuest One Psychology
    Hyper Article en Ligne (HAL) (Open Access)
    MEDLINE
    ProQuest Central

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